Après des années de recherche, la chorégraphe Dominique Brun, grâce à des dessins de Valentine Hugo, à des vases grecs, mais aussi aux Carnets de Nijinski, dans sa version non expurgée traduite par Christian Dumais-Lwovski, fait ressurgir des ombres le Sacre du Printemps, et ce soir, au CND de Pantin, nous le découvrions.