Si vous prenez régulièrement l'avion, il vous est sûrement arrivé d'avoir un vol retardé, ou annulé. Généralement, les voyageurs peuvent être indemnisés, entre 250 et 600 euros, un montant que veulent faire baisser les compagnies aériennes.
Alors que le trafic aérien s'annonce compliqué cet été, la compagnie Air France a décidé d'augmenter le prix de ses billets jusqu'à 300 euros, pour une "surcharge carburant" liée au prix du kérosène.
Les nuisances sonores sont très nombreuses à Paris, qui se retrouve, selon une étude, en première place des villes les plus bruyantes d'Europe. Cette année, Paris a aussi remporté la deuxième place pour la ville la plus embouteillée au monde !
Le groupe Aéroports de Paris, lourdement impacté par la crise sanitaire liée à l'épidémie du Covid-19, a connu un léger regain de forme cet été avec un trafic nettement supérieur à l'été dernier. En revanche, son PDG estime qu'il ne devrait pas y avoir de reprise normale du trafic aérien avant au moins 2025.
Le gouvernement a demandé à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle d'abandonner son projet de construction d'un nouveau terminal, qui entrait en contradiction avec les objectifs environnementaux de l'Etat, et se trouvait injustifié par la baisse importante du trafic aérien.
Fortement impacté par la crise sanitaire, le trafic des aéroports parisiens devrait revenir à la normale "entre 2024 et 2027" d'après le groupe Aéroports de Paris.
Air France devra se passer d'une partie de ses vols nationaux. Benjamin Smith, le PDG de la compagnie aérienne, a annoncé que les vols domestiques serait réduit de 40% sur des distances courtes, en fermant les lignes en direction de villes situées à moins de 2h30 en TGV. Une mesure qui devrait également être appliquée à l'ensemble des compagnies aériennes.
Alors que le Covid-19 circule toujours en Europe, EasyJet, la compagnie aérienne à bas coût, annonce vouloir progressivement reprendre certains de ses vols à compter du 15 juin 2020. Cette reprise de trafic devrait concerner "essentiellement des vols intérieurs au Royaume-Uni et en France".
Alors que de nombreuses compagnies aériennes sont clouées au sol depuis le début de la crise sanitaire, l’Association internationale du transport aérien (Iata) annonce que le trafic ne devrait pas revenir à la normale avant 2023.