Le théâtre de l'Etoile du Nord propose un festival jeune public avec quatre spectacles et plusieurs représentations auxquelles assister en famille, du 29 novembre au 16 décembre 2022.
Le Festival Jet Lag est de retour pour sa 4e édition au Théâtre de l'Etoile du Nord du 15 au 25 mai 2013. Venez changer votre regard, voir la danse différemment avec d'autres formes, d'autres rencontres artistiques.
Deux soli pour deux danseuses qui interpréteront à leur manière l’arrivée du printemps. Dans un décor rappelant l’univers du camping, les danseuses nous invitent à partager leur univers intime, coloré et poétique.
Louis Santerre est incarcéré pour le meurtre présumé d’Emilie Lafontaine. Cinq ans après le drame, Jeanne Lafontaine, professeur de lettres, se rend en prison pour affronter le psychopathe qui aurait tué sa cadette et sur lequel elle veut écrire un livre.
Clarisse et Arsène sont voisins de palier, mais on ne peut imaginer personnes plus dissemblables. Lui est un homme solitaire et un peu renfermé, avec ses petites manies, qui vogue doucement vers la retraite. Elle est une jeune femme délurée et un tantinet sans gène mais qui ne sait pas toujours quoi faire de sa vie. Chacun d’eux cultive en secret ses rêves et ses pensées par le truchement de l’écriture.
Une version ébouriffée de l’histoire du plus petit des héros minuscules. Comment il naquit sous la foudre, comment il séduisit l’Ogresse avec une fourmi, comment il échappa à l’Ogre dans l’oreille d’un cheval. Entre rêve, mensonge et réalité, Poucet raconte, et se hisse, et rebondit encore. Un Poucet en chansons où l’on danse sur des échelles, où l’on se perd pour mieux se retrouver. Un conte jubilatoire et musical qui préfère les chemins de traverse aux sentiers battus.
À travers l’histoire de Louis, 34 ans, revenu dans la maison parentale après de longues années d’absence, Jean-Luc Lagarce questionne « cet animal étrange qu’est la famille », les familles avec ces vies réelles ou fantasmées et son lot d’espoirs, de rancunes, de non-dits…
Après 20 années de vie commune, d’une vie « honnête et digne », Yona Popokh veut quitter sa femme Léviva, sans savoir pourquoi exactement. Peut-être parce que le bonheur est insupportable, que la magie s’est éteinte, que les rêves du début sont inatteignables, parce que la vie est « une laborieuse entreprise ».