Alors que la préfecture, associée à la LFP, vient de décider que les parcages visiteurs seraient fermés au public lors du prochain PSG - OM, le président parisien donne son sentiment sur cette décision dans Le Parisien.
Je suis surpris car, vendredi, lors d’une réunion, le directeur général de la Ligue avait parlé de 500 ou 1000 supporteurs de l’OM. On s’y préparait. Maintenant, une décision a été prise pour avoir un risque zéro. Nous prenons acte. Nous n’avons rien demandé. Mais il y a aussi la question de l’horaire. Je souhaiterais qu’il fasse jour quand les gens entreront dans le stade. Ce sera une décision de la préfecture et du ministère de l’Intérieur. Car ni sur l’horaire ni sur la fermeture des tribunes visiteurs, ce n’est une décision du PSG."
Et si Robin Leproux insiste bien sur ce point, c'est pour éviter une nouvelle déclaration du directeur sportif marseillais qui avait déjà accusé le club parisien de vouloir limiter le nombre de supporters marseillais pour cette rencontre. Mais Paris, comme l'OM, ne sont en rien décideurs et doivent donc faire avec cette décision. Concrètement, la sécurité de tous est ici privilégiée et il faut alors tenter d'en tirer des enseignements positifs : "Il faut retrouver un climat apaisé. On ne peut pas regretter de mettre le public du Parc en sécurité et éviter les incidents. De notre côté, il y a une forte volonté de battre l’OM sur le terrain mais pas que les gens se battent quand ils viennent au stade. Maintenant, il faut apaiser les relations entre les deux clubs pour être capable de s’accueillir. Sinon, c’est donner raison aux éléments violents."
Comme le plan Leproux, cette décision se veut donc temporaire, dans l'attente d'un climat plus serein. Il convient de noter qu'il en ira de même au vélodrome et que ce choix se veut donc équitable d'un point de vue sportif.
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