Pitchfork Music Festival Paris au Trabendo : Opening Party

Le Trabendo ouvrira ses portes à Julianna Barwick, The Dodos ou encore Jackson Scott, le mercredi 30 octobre prochain, à l’occasion de l’Opening Party du Pitchfork Music Festival Paris 2013.

Les amateurs d’indie le savent; le Pitchfork Music Festival Paris 2013 se tiendra à la Grande Halle de La Villette du 31 octobre au 2 novembre prochain et vous promet ainsi de vous en plein la vue et les oreilles grâce à une pléiade d’artistes comme Knife, Savages ou encore Hot Chip…

Mais la veille, c'est-à-dire le mercredi 30 octobre 2013, le festival a décidé d’investir la scène du Trabendo pour une Opening Party exceptionnelle ! Jugez-en par vous-même :
JULIANNA BARWICK
Née en Louisianne, élevée dans le Missouri et vivant à Brooklyn, c’est sous l’impulsion d’Alex Somers qu’elle part enregistrer son album à Reykjavík. Elle enregistre «Nepenthe» (une fleur censé vaincre la tristesse et l’ennui, évoquée par Homère dans l’Iliade et l’Odyssée) avec les grands moyens: chœurs d’adolescentes et ensemble de cordes. Le résultat est une musique électronique éthérée, noire, mélancolique et malgré tout joyeuse.

THE DODOS
A ne pas confondre avec les Dodoz, groupe de rock toulousain. The Dodos, du nom de l’oiseau dont l’espèce s’est éteinte au XIX siècle, est un groupe de rock expérimental jouant des formats pop. Ils avaient touché les cieux «Visiter», leur premier album en 2008. S’éloignant de l’urgence folk-rock de leur début, «Carrier», sorti cette année, prend le temps de poser ses ambiances.

JACKSON SCOTT
La fulgurante ascension du musicien d’Asheville en Caroline du Nord (il est originaire de Pittsburg) est à mettre sur le compte de ses morceaux psychédéliques et fantomatiques. Son album «Melbourne» est à ranger à coté d’Atlas Sound, et les Pink Floyd sont sans aucun doute ses parents spirituels.

FOREST SWORDS
Seul artiste de cette soirée à vivre en dehors des Etats-Unis, Forest Sword est sans doute le plus difficile à placer sur une carte. Electro mais tirant sur le r’n'b, pop mais rongé jusqu’à l’os, post-dubstep mais plein de guitare, «Engravings»est aussi séduisant qu’envoûtant.