On est curieux, on a envie de voir Jean-Baptiste Maunier sur scène. Et le fait d'assister à un thriller psychologique ne nous déplaît pas non plus. Bien au contraire.
Une pièce musicale d’Emmanuel Daumas, réécrivant celle de Serge Gainsbourg et Pierre Koralnik, succès des années 60, avec Cécile De France ? On y court, naturellement.
Un bon dans les années 20, à la rencontre d’un des couples les plus mythiques de l’histoire du siècle dernier ne peut se refuser. Surtout après la folie du film de Baz Lhurmann sur l'Irrésistible Gatsby.
On aime l’idée de faire rimer une exposition avec une pièce de théâtre (le Musée de l'Orangerie présente une exposition consacrée à Frida Kahlo et Diego Rivera). De plus, découvrir encore un peu plus de Frida Kahlo est toujours un bonheur, n’est ce pas ?
Quand Joël Pommerat traite de la société de consommation dans un des plus beaux théâtres de la capitale, le rendez-vous est absolument immanquable.
Alexis Michalik reprend cette pièce en ce début de saison, et mon petit doigt me dit que l’immense succès de l’an passé n’y est pas pour rien…
Pour le plaisir d'aller à la Cartoucherie, allez découvrir l'ouverture du saison de l'excellent Théâtre de la Tempête. Un soldat rentre chez lui, mais sa maison n’est plus la sienne, sa femme non plus…
Car voir du théâtre à la Cigale est suffisamment rare pour être noté, et assister donc à une des représentations programmées.
Eugène Ionesco mis en scène par le directeur du Théâtre de la Ville, Emmanuel Demarcy-Mota, fait aussi partie des immanquables.
Plonger la tête la première dans une pièce tirée de plusieurs récits de la grande Marguerite Duras : un bonheur dont on ne se lasse pas.
