Le leader de Glasvegas, James Allan, a trouvé le nom du groupe – ce mot-valise postmoderne évoquant à la fois la vaillance de la classe ouvrière de sa ville natale, Glasgow, et les strass de la ville où l’on ne dort jamais, celle où l’on flambe et où l’on fait la fête jusqu’au bout de la nuit, Las Vegas – avant même d’avoir composé son premier morceau. « Dans le temps, l’Ecosse excellait dans l’art de se déprécier, et tout le monde chantait avec un vague accent américain. Avec ce nom, je voulais donner l’image d’un groupe fier, d’un groupe qui s’assume. Certains mots jaillissent comme ça, comme des évidences. »