Le dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Cette créature surnaturelle a dépassé le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui. Le mahJ lui consacre une foisonnante exposition, mêlant théâtre, cinéma, musique, littérature, et culture populaire.