Exposition au Palais de la Porte Dorée, Ce qui s'oublie et ce qui reste - derniers jours

Dans le cadre de la Saison Africa 2020, le Palais de la Porte Dorée - Musée de l'Immigration vous invite à découvrir l'exposition "Ce qui s'oublie et ce qui reste", imaginée en collaboration avec le Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden, du 19 mai au 29 août 2021.

Le thème de la transmission, une thématique chère à l'art contemporain aujourd'hui. Après The African Shed Laboratory au musée du Quai Branly, c'est au tour du Palais de la Porte Dorée - Musée de l'Immigration de proposer son exposition sur la question. Intitulée Ce qui s’oublie et ce qui reste, celle-ci est attendue du 19 mai au 29 août 2021. Une exposition créée en collaboration avec le Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden (MACAAL) et qui se tient dans le cadre de la Saison Africa 2020.

Celle-ci propose ainsi aux visiteurs d'explorer cette notion de transmission à travers les œuvres de 18 artistes issus de la scène africaine et "de ses diasporas". Que reste-t-il de la transmission à l'heure des réseaux sociaux, de l'information en continu et de l'individualisme ? Comment se transmet la mémoire d'une personne, d'une famille, d'un peuple aujourd'hui ? Autant de questions auxquelles Ce qui s'oublie et ce qui reste tente de répondre à travers l'art, mais également à travers "des récits intimes à une perspective historique large".

Une exposition qui associe ainsi "héritages et circulations", abordant également d'autres thématiques comme les questions de frontières et de migrations ou encore "les liens entre les générations d’histoire et de mémoire de part et d’autre de la Méditerranée et au sein du continent africain". Peintures, tissages, sculptures, vidéos, installations, performances... Autant de supports d'expression également, pour témoigner de cette transmission de patrimoine et de mémoire, oscillant "entre continuité et points de rupture". Une exposition empreinte d'actualité à découvrir à la réouverture du musée.