Retiré du groupe au tout dernier moment alors que Paris s'apprêtait à affronter Lorient, Edel souffrirait en réalité de toxoplasmose, une maladie rare chez l'homme, celle-ci touchant habituellement... les chats.
Edel, ayant été victime d'une crise aigüe à l'œil jeudi dernier, les médecins du clubs se sont rendus compte hier que son traitement pouvait déclencher un résultat positif lors d'un éventuel dépistage anti-dopage. Dès lors, n'ayant pas eu l'accord de l’Agence française de lutte contre le dopage de valider ce traitement, malgré l'autorisation de l'UEFA, les dirigeants Parisiens et le médecin Rolland en tête ont décidé de ne pas prendre de risque et de ne pas coucher son nom sur la feuille de match.
Paris, en s'appuyant sur la décision de la plus haute instance européenne espère néanmoins faire plier l’Agence française de lutte contre le dopage et ainsi pouvoir réintégrer son gardien pour la réception de Caen prévue ce week-end.
Par ailleurs, Edel, selon le site Football365, serait en pourparlers afin de prolonger son contrat. Ses conditions : être titulaire et parapher un contrat d'une durée de trois ans.
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