En raison des conditions climatiques actuelles qui entravent la dispersion des polluants issus du trafic routier et du chauffage domestique, on s'attend à une augmentation des concentrations de particules ce vendredi 19 janvier à Paris et dans une partie de l'Ile-de-France. Il est possible que ces niveaux excèdent par endroits le seuil d'alerte.
L'air de Paris est déjà pollué mais celui de son métro l'est encore plus ! Selon l'Agence nationale sécurité sanitaire, le taux de particules fines dans les transports est trois fois supérieur à celui relevé à la surface.
Ces derniers jours, vous n'avez pas pu manquer ce ciel jaunâtre et les particules laissées sur les voitures. Liées au sable du Sahara, elles contenaient entre autres du césium 137, un élément radioactif.
Une étude menée par Airparif révèle qu'il y a "2 à 3 fois plus de particules ultrafines dans les zones urbaines et périurbaines que dans les zones rurales."
Y a-t-il un risque d’aggravation du Covid-19 en cas d’épisode de pollution atmosphérique ? C’est l’hypothèse émise par plusieurs chercheurs qui tentent de déterminer le rôle des particules fines dans la propagation et la transmission du virus. On vous explique.
Une étude du Centre de Recherche sur l’Energie et la Qualité de l’Air révèle que le retour de la pollution à Paris est le plus brutal parmi toutes les métropoles européennes.