Situé rue du Faubourg Saint-Honoré aux cotés des boutiques de luxe, des antiquaires et des galeries d'art, l'hôtel du Bristol est un pied à terre idéal pour partir à la découverte de Paris.
Son bar, aujourd'hui dirigé par Pascal Havel, fêtait en 2005 ses 80 années d'existence. Partons à la découverte d'un lieu à la fois chic et paisible.
Modèle du genre, le bar du Bristol remplit à merveille les exigences en matière de qualité de service et de confort. Le somptueux bar, résolument contemporain, se situe au centre de la salle et garde une vue d'ensemble sur tous les recoins de la pièce. La salle scintillante dispose de volumes impressionnants qui entretiennent efficacement une atmosphère sereine et raffinée. Cet espace aussi luxueux que singulier nous procure une sensation de « happy few ».
Elu meilleur Hôtel du monde 2008 par le magazine « Institutional Investor », l'hôtel du Bristol propose à ses hôtes plusieurs rendez-vous incontournables. Au bar, l'un des rituels est l'heure du thé (15h30 à 18h00) où 15 saveurs issues des plus célèbres plantations d'Inde, du Sri Lanka et de Chine sont à votre disposition. Vous pourrez accompagner vos « Tea-time » de finger sandwiches, petits fours, scones et pâtisseries fines élaborés par le Chef pâtissier Laurent Jeannin. Certains samedi, lors des « Thés à la mode », des défilés de mode sont organisés par le Bristol pour permettre à tous ses clients passionnés de revisiter les modèles emblématiques d'une collection.
Le bar du Bristol accueille une clientèle cosmopolite mêlant artistes, galeristes, personnalités diplomatique et politique. Sans oublier les célébrités parisiennes du milieu de la mode et des médias. L'histoire et l'esprit des lieux sont également marqués par les hôtes de renom qui fréquentèrent l'hôtel du Bristol tels que Ava Gardner, Marylin Monroe, Grace Kelly, Charlie Chaplin...
Consommations:
Cocktails sans alcool : à partir de 14 €
Cocktails avec alcool : à partir de 21 €
Sodas : 8 €
Le Bar est ouvert en semaine de 8h15 à 1h30, et le week-end de 10h30 à 1h30.
