C'est déjà l'été chez Takaramono ! Pour fêter l'arrivée des beaux jours, le chef Alexandre Arnal a imaginé une nouvelle carte remplie de fraicheur et de gourmandise.
Takaramono signe, avec cette carte estivale, le début d'une jolie collaboration avec La Compagnie Française de l’Orient et de la Chine qui propose à partir de maintenant, chaque saison, une nouvelle vaisselle au restaurant, en fonction des envies et des idées du chef. Chaque assiette épouse ainsi parfaitement le plat et le complète, et on en a vu passer de bien belles !
Les choses ont bien changé depuis l'ouverture de Takaramono, en mars 2018. Le chef se permet désormais des créations étonnantes et détonnantes dans les assiettes, qui nous ont conquis. A table, au bar ou au comptoir, la tête vers l'extérieur, on se laisse facilement prendre au jeu des associations nippones et méditerranéennes d'Alexandre Arnal.
Avant de se jeter sur la carte des assiettes à partager, on jette un œil sur la carte des boissons. Vins nature, sakés Junmai, cocktails... Ce sont finalement ces derniers qui ravissent nos cœurs, et on tente le Seinsen (15€) qui se compose de Mezcal, de liqueur de yuzu, de jus de bergamote, de jus d'orange sanguine, de fleur d'oranger et de poivre cubèbe; et le Nishibi (14€), avec gin, purée de mangue et citronnelle, jus de citron vert et bitter rhubarbe.
C'est maintenant l'heure de passer aux choses sérieuses. A la carte, chez Takaramono, une dizaine de tapas à partager, pour bien commencer : Foccacia (piperade au miso, piquillos del patron, tuile de parmesan; 10€) pour les plus gourmands; friture 'Joel' et citron vert (9€) pour les amoureux du Sud; caviar d'aubergines (crème de sésame noir, aubergines confites; 8,5€) pour les connaisseurs ou encore oeufs mimosabi bio et betteraves chioggia (6,5€) pour les amateurs de cuisine parisienne revisitée.
On tranche pour la brousse accompagnée de fèves, de petits pois et d'une huile verte (11,5€), excellente; pour le merlu à la japonaise (13,5€) avec daïkon, wasabi et vinaigrette de betterave, super frais et bien relevé; et pour les asperges (13,5€), après tout c'est de saison, avec mayonnaise verte, un max d'herbes aromatiques et des pickles d'oignons rouges. Des tapas vraiment très raffinées.
Pour la suite, Takaramono propose 6 plats, qui sauront ravir tous les palais. Citons par exemple les ribs de veau laqués à la carotte (13€), les udons sautés, crème de courgette et longues de Nice marinées au Ponzu (15,5€) ou encore le tataki de bœuf mariné au soja et gingembre (17€).
Pour nous, ce sera Saint-Jacques au yuzu, pistache et wakame (18€), ultra-fondantes; et le thon Katsu (18€) préparé à la manière du porc Tonkatsu japonais, à peine saisi à l'intérieur et enrobé d'une friture croustillante. Un régal à tremper dans une mayonnaise au wasabi et un ketchup de betteraves !
En dessert, le choix est vite fait : d'une part une salade de fraises, sirop de verveine et citron (9€), de l'autre un carrot cake accompagné d'une carotte glacée à l'orange et d'une glace à la date (9€ également).
Bref, si par le passé, Takaramono ne vous avait pas vraiment fait tomber de votre chaise, sachez que c'est désormais le cas !
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Tous les soirs, du mardi au samedi 19h/2h